L’ombre du absolu anonyme
Le devin avançait mollement via les ruines, n'importe quel pas embrasant un brin de suie qui retombait directement, à savoir une mer silencieuse refermant son passage. Les images gravées dans la cendre refusaient de émerger son être. Elles s’imposaient à lui de façon identique à un évocation qu’il ne pouvait ignorer. L’ombre du tyran